Pourquoi devons nous nous reposer la question du devenir de ces deux axes principaux de la commune ?

- Nous avons tous fait l’expérience de remonter la Grande Rue de la boulangerie à la pharmacie par des trottoirs étroits et accidentogènes.
- Chacun connait dans sa famille ou chez des proches des personnes à mobilités réduites ou handicapées qui ne peuvent se satisfaire des circulations compliquées du centre-village. (cf. focus pour une politique inclusive)
- Et que dire de l’impossibilité de déambuler (avec ou sans poussette) dans la partie moyenne de la rue Chaude.

Refaisons ensemble l’historique de la situation :
– Il y a 19 ans, en 2001, il était déjà question de la réfection de la grande Rue… Puis à chaque mandat, de promesses en promesses, le sujet fut abordé sans résultat.
– À l’automne 2014, la ville annonçait enfin le projet de réfection de la Grande Rue mais … … sans aucune étude préalable de circulation demandée par quelques élus.
– Finalement une étude fut tout de même réalisée en mai 2015 et rendue publique par ces même élus
– Les travaux qui avaient été annoncés pour 2015, puis 2016 et enfin 2017 n’ont jamais été réalisés.
Les problèmes restent donc entiers et doivent faire l’objet d’une véritable réflexion notamment concernant la circulation des bus qui, en devenant de plus en plus larges, rendent les trottoirs de ces deux rues très accidentogènes.
Cette réflexion devra s’appuyer non seulement sur l’étude réalisée en 2015 et le projet alternatif à la municipalité proposé cette année là mais aussi sur une large concertation avec les riverains, les commerçants et plus généralement l’ensemble des camboriciens.